~ nom, prénoms : Maëlys Gwenaëlle Jefferson ~ surnom : Maë, Mama, Lys, Lili, Gwen ~ date et lieu de naissance : 2 Février 1990 au Québec ~ métier : Infirmière ~ statut : Célibataire ~ situation financière : Aisée même trop ~ groupe : Chanel

~ parce que je le vaux bien :je suis sociable, franche, charmeuse, mais aussi caractérielle, grincheuse, butée. Dans la vie j'aime les fraises, le nutella à la petite cuillère, j'aime boire aussi mais sa dépend l'alcool que c'est, j'aime les beaux garçons, soigner les gens, faire la grasse matinée, rester en maillot et jogging toute la journée chez moi, les animaux, lire... mais je déteste aussi le poisson (à manger bien évidemment), les araignées, les personnes qui se la jouent trop, les personnes qui parlent trop pour rien dire, le café car je trouve que c'est pas bon...
~ parce que c'est trop drôle : Quand j'étais jeune enfant, j'étais avec ma mère sur le canapé et je lui ai dis que la lampe était pas belle et après j'ai mis un coussin sur la tête à ma mère et quand elle m'a demandé pourquoi j'avais fais ça et je lui ai dis que c'est parce qu'elle était moche...

Je suis née un beau jour de pluie au Québec au Canada le 2 février 1990 d'un père québécois et d'une mère française. Autant dire que j'étais très désirée par mes parents, car ils peinaient à avoir un enfant. Je fus très chouchoutée étant petite, je recevais toujours pleins de cadeaux de ma famille même s'ils y en avaient qui servait à pas grand-chose pour moi mais bon, on fait avec ce qu'on a. Mes parents étaient très présents pour moi mais, ils étaient beaucoup trop possessifs envers moi, c'était toujours "Ma petite Gwen', mon enfant, fait pas si, fait pas ça", j'étais leur enfant, je leur appartenais et ils ne me laissaient jamais tranquille ce qui eut des conséquences quand je suis entrée à l'école.
   Dès que je fus au collège, je n'arrêtai pas d'avoir quelques remontrances de mes professeurs, car je n'aimais pas me faire commander, je trouvais qu'on me commandait déjà assez à la maison. Quand je voulais quelque chose, je l'avais toujours, mes parents ne savaient rien me refuser mais, ils me donnaient toujours des consignes très strictes. Je sortais avec beaucoup de garçons, c'était toujours l'histoire d'une nuit, mais un jour, je découvris que j'étais enceinte, je ne savais pas quoi dire, ni quoi faire surtout avec mes parents qui me voyait toujours comme une petite fille, leur petite fille sainte, bien élevée, comme il fallait leur dire un jour ou l'autre, je leur dis à table, c'est toujours un bon endroit pour parler de ça "Maman, papa, j'ai quelque chose à vous dire""Vas-y, on t'écoute mon enfant...""Voilà, je suis... avant ne vous fâchez pas mais, je suis...""On a compris tout ça, tu es quoi? Bas vas-y accouche""Tient c'est bien que tu dises "accouche" parce que cela arrivera dans 9 mois, voilà, bon appétit" Mes parents étaient bouches bées, je vis que mon père commençait à devenir écarlate et ma mère, elle, n'avait eu aucune réaction "Tu es enceinte?! Sors de ma maison, dire que l'on croyait que l'on t'avait bien élevé, et bien on s'est trompé. Je ne veux plus te voir ici, tu as déshonoré notre famille!""Quoi ? Tu veux dire que tu me mets à la rue?""Parfaitement, tu as 10 minutes pour faire tes bagages!" Ma mère était sous le choque après ce qu'elle avait entendu de la bouche de son mari et elle lui mit une gifle et mes parents divorça 3 mois plus tard.
 J'étais restée chez ma mère, qui s'occupait de moi le temps de ma grossesse, neuf mois plus tard, j'accouchai d'une petite fille, je ne lui donnai pas de prénom, car je savais très bien que je ne pourrais pas m'en occuper toute seule avec ma mère pour me soutenir, alors je la fis adopter, même si cela m'arracha le coeur. Après que je continuai ma vie d'avant, mes études de médecine pour devenir infirmière mais j'avais quand même beaucoup changé et mûrit, même si cela s'est passée il y a 6 ans maintenant, jamais je ne pourrais oublier ma grossesse, tout ce que j'avais vécu à 16 ans m'avaient incroyablement endurci. Pour cela, à mes 20 ans, j'avais décidé d'aller à Milan, je fis mes adieux avant à ma mère et ma famille qui étaient là pour me soutenir dans cette aventure à par mon père, car je n'avais pas gardé contact avec lui et je ne voulais plus le voir. Là-bas, je voulais repartir à zéro, même si cela allait être difficile mais, je ne veux rien lâcher et je veux avant tout oublier ma vie d'avant.