~ nom, prénoms : visconti, mirabella ~ surnom : mimi, bella ~ date et lieu de naissance : le vingt-quatre juillet mille-neuf-cent-quatre-vingt-douze, à milan ~ métier : riche héritière, mannequin pour chanel à mes heures perdues ~ statut : je défini mon statut comme compliqué, très compliqué. ~ situation financière : aisée ~ groupe : Chanel

~ parce que je le vaux bien : énergique, j'ai un besoin constant de bouger et de me sentir libre, sûrement puisque j'ai toujours portée de lourds fardeaux suite à tout l'argent qu'on m'a léguée. on me dit très sympathique, douce, gentille quand on apprend à me connaître vraiment pour qui je suis réellement. en effet, je me cache parfois sous les apparences d'une fille qui se montre garce et insensible, bien que se soit le contraire enfin de compte. comme quoi il ne faut pas se fier aux apparences, car elles sont parfois trompeuses. sinon, on dit que je suis quelqu'un de ta généreuse, puisque je fais assez fréquemment des dons à des organismes dans le besoin. cependant, je ne cache pas être une fille très possessive, facilement jalouse, trop curieuse et parfois très froide. j'aime énormément de choses, par ailleurs, en passant par tout ce qui touche la mode, aux petits animaux, ainsi que les enfants et j'en passe tellement ! mais s'il y a bien une chose que je n'arrive pas à supporter c'est quand les gens crient, j'ai automatiquement mal à la tête et après, j'ai delà difficulté à passer à autre chose, car je suis un peu beaucoup trop rancunière...
~ parce que c'est trop drôle : ce jour-là, j'avais un peu abusé de l'alcool. je tiens à le précisez avant de raconter ma petite anecdote, puisque ce jour je me suis un peu beaucoup ridiculisée et j'en ai encore honte. alors que je dormais dans un hôtel de los angeles, j'avais décidé de me rendre dans la section spa et massage dans l'espoir de relaxer un peu. la dame avait alors commencé à me faire un masque de beauté quand un soudain mal de cœur m'a pris. j'avais l'impression que j'allais être malade. non, je savais que j'allais être malade. sans même prendre la peine de demander où se retrouvait les toilettes à la dame, je pris la fuite vers la première porte que j'avais vu. cependant, bien sur ce n'était pas les toilettes, mais plutôt une salle d'entraînement. en temps normal, j'aurais plutôt fait demi tour et tenter de trouver les toilettes, mais j'allais être malade d'une seconde à l'autre. je me suis alors dirigée vers la poubelle qui était la plus près d'où je me trouvais. et j'ai été malade, pendant de longues secondes. je ne me sentais vraiment pas bien. et quand je me sentis soulager, je me suis relevée pour reprendre mon souffle. c'est alors que j'ai remarqué que plusieurs pairs d'yeux étaient tournés dans ma direction. premièrement, je venais d'être malade dans une salle d'entraînement, deuxièmement j'avais la moitié de la figure couverte d'une pâte verte et comme si ce n'était pas assez, il y avait le charmant jeune homme avec qui j'avais passé la nuit précédente. et comme si ce n'était pas assez quelqu'un avait eu la brillante idée de filmer la scène. comme j'avais honte, j'avais tellement honte ! mais pas que pour une seule raison, non ! on m'avait pris en faiblesse. je ne vous direz pas comment est-ce que j'ai dû payer au jeune homme à la caméra et aux autres qui se retrouvaient dans la salle pour qu'ils se tiennent la langue.  après vous pouvez voir dans quelles situations j'arrive à me mettre... 

« Très cher journal, leurs décès a été publié dans les journaux aujourd’hui même. Je te laisse imaginer comment ce fut difficile cette journée. Apprendre la mort de nos parents, c’est une chose, cependant que cette nouvelle soit écrite dans plusieurs journaux, s’en est une autre et elle est loin d’être facile à digérer. Je me rends contre que je n’ai pas encore eu le temps de te raconter ce qui s’est produit… J’étais terriblement occupée ses derniers temps. Leur mort a été causé par un accident d’avion. Ils revenaient de leur voyage en Russie tandis que l’avion a explosé sans raison. Bien sur, les autorités croient que ce fut un meurtre, bien que personnellement je crois en un banal accident. C’est que je ne veux très certainement pas voir la vérité en face. Quelqu’un avait bel et bien l’intention de mettre fin à leurs jours. Mais qui ? C’est bien la question. » [...] « Cher journal, tu ne me croiras sûrement pas et pourtant c'est vrai... Ils ont retrouvé les criminels qui ont voulu tuer mes parents... ou plutôt qui ont tué mes parents, puisque ça s'est produit. J'ai préféré ignorer cette annonce, puisque je préfère toujours penser que ce n'est qu'un accident, bien que maintenant je dois me rendre à l'évidence. Quelqu'un en voulait à mes parents, pour une raison que je ne connais guère et que je ne souhaite pas connaître non plus. D'ailleurs je l'ai bien fait comprendre aux policiers. Je ne veux plus en entendre parler car ça me fait vraiment mal. Non je préfère passer à une autre étape dans ma vie, car je n'ai pas envi de pleurer à tous les jours... Ce n'est pas bien difficile à comprendre, non ? » [...] « Mon très cher journal, aussi étrange que cela puisse paraître, j'ai enfin vécu une journée normale, du moins aussi normale qu'une journée dans ma vie puisse être. Je n'ai pas eu à me casser la tête avec deux millions de choses qui sont pour moi très peu importantes. J'aime ma vie, cependant parfois elle est très fatigante. Et pourtant tu sais que je ne suis pas particulièrement portée à me plaindre de quoi que se soit. Non en fait je n'ai rien à reprocher à la vie de rêve que je vis, car oui même s'il y a de mauvais cotés il y en a davantage qui son bon je dirais. Je ne manque de rien après tout a lors pourquoi me plaindre, tandis que dans certains pays les gens ne peuvent même pas boire de l'eau potable. » [...] « Mon journal, je n'arrive tout simplement pas à y croire, c'est totalement fou. J'ai un frère. Ou plutôt un demi-frère, puisque celui-ci n'est que le fils de mon père... Je ne l'ai jamais su avant aujourd'hui. Je ne prendrai pas trop de temps pour t'expliquer comment j'ai su qui il était puisque c'est bien trop compliqué. De toute manière, cela ne change pas grand chose la manière dont je l'ai rencontré. Ce qui fait la différence c'est ce que ça représente. Je ne suis pas seule. Mais ce qui est le plus étrange c'est que je n'avais jamais pensé que cela m'arriverait et pourtant... c'est bien le cas. »