~ nom, prénoms : Dexter Manivex Eckart ~ surnom : Dex ~ date et lieu de naissance : 11 octobre Milan, agé de 30 ans ~ métier : Tueur indépendant, propriétaire d'un réseau d'escort et d'un bar de Streap-tise ~ statut : célibataire ~ situation financière : Riche ~ groupe : Mafia

~ parce que je le vaux bien : Dex ce considère comme un monstre, depuis l'enlèvement de sa fille il agit souvent sans vraiment réfléchir. Pourquoi ? Parce qu'il ne pense qu'a protéger sa fille. La seule famille qui lui reste. Il est de nature assez arrogant, irréfléchis, violent, impulsif, colérique, il est rarement contrôlable. Dex fait ce qu'il veut quand il veut. Personne n'a put avoir le contrôle sur lui. Malgré tout ce mauvais côté, c'est un bon père et il sait protéger sa fille comme il se doit, il a un grand coeur malgré tout, mais il passe sa fille avant tout.  Il est protecteur, franc et surtout un fin stratège.
~ parce que c'est trop drôle : J'engloberais toutes les conneries que ma fille m'a fait subir.

Ma tête percuta le sol, mais aucun son ne sortit de ma bouche, j'en avais l'habitude. Je crachai au sol  du sang. Je levai les yeux vers mon père avant de redresser. À peine de retour sur mes pieds, il me frappa à nouveau encore plus fort que les premiers coups. Cette fois, mon nez ce mit de la partie. Cassé et en sang. Je me redressai à nouveau, le fixant. « Tu ne comprendras jamais la leçon Dexter. » Je le regardai et fronçai les sourcils. Après des années de coups sur le nez, sur le visage, et ailleurs même, je m'étais endurcit. Ce qu'il ignorait c'était que je n'étais plus le même depuis plusieurs mois et que je faisais ce que je pouvais. Je glissai ma main sous ma veste et en sortit une arme à feu et lui tirai dans la tête et il percuta le sol à son tour. J'essuyai l'arme et la laissai tomber sur le sol avant de tourner les talons pour me dirigeai vers ma chambre. Je ressortit avec des bidons d'essence et une cigarette entre les lèvres. J’arrosai le salon, la cuisine, l'entré, les escaliers. J'allumai le four et une chandelle sur le comptoir avant de sortir de chez moi. Les mains dans les poches je laissais ma maison brûler. Je m'étais réfugié dans un motel à l'écart de la ville. Deux jours plus tard, la police débarqua et me traîna jusqu'au poste m'inculpent du meurtre de mon père. Je restais simplement assis attendant que l'agent de la police débarque. Il ne vint pas vraiment. Un homme étrange entra dans la pièce et s'appuyait contre le mur. J'avais, quoi, dix-sept ans. Je le regardais tout comme il me regardait. Il poussa un rire, surement à cause de mon silence. Il s'approcha et s'installa sur la chaise. « T'es pas un flic toi. Qu'est-ce que tu fiches ici. » Il se pencha vers moi et me tendit un bout de papier Je fixai le bout de papier et le regardai à nouveau. « Je t'aimes bien gamin, quand tu sortiras de ce bureau, vas à cette adresse, je te débarrasserai de tout. » Il se leva et quitta le bureau. J'haussai les sourcils en me demandant ce qui venait de se passer. Une dizaine de minutes plus tard les inspecteurs entrèrent je fus relâchai trente minutes plus tard.

« Dis-moi gamin, tu as fait quoi ? » Encore une fois, je me retrouvais sur un chaise. Mon nouveau patron me faxait intensément. « Je lui ai foutu une balle dans la tête et j'ai foutu le feu à la maison, comme avec mon père. Pourquoi ? » Je voyais bien qu'il n'aimait pas que je parles comme ça. Il s'approcha de moi et posa ses mains sur mes épaules. « Va falloir que tu changes ton mode, mon grand. Plus tu reste sur le même plus ils te trouveront. » Je laissai tombai un rire et il rit à son tour. Il embrassa mon front, m'ébouriffa les cheveux et quitta la pièce sans rien ajouter. Le jour suivant on l'avait retrouvé mort dans l'explosion de sa voiture. Depuis ma naissance, c'est le seul qui arrivait à me contrôler, il était comme un père pour moi. Celui qui voulait vraiment me voir avancer dans la vie... Il m'a donné un chemin à suivre, un désir à accomplir. Quand on est un enfant unique et que sa mère est morte en donnant la vie à ce seul fils et que son père est un alcoolique et qui vous bat jour et nuit, et bien on s'endurcit et on devient quelqu'un de plus fort, surtout lorsqu'un soutient inattendu débarque en tant que exécutant de la mafia. Il m'a tout montré. Il m'a montré à tirer, à tuer en silence, à ne laisser aucune trace, à tout camoufler en tout genre. À sa mort il y a de cela six ans, il m'a légué son bar de danseuse et son réseau. De l'argent et de l'argent en poste.

« PAPA!! » Je me retournai, encore endormit avant qu'on ne me saute sur le ventre. Je retint mon souffle en grimmaçant légèrement. Je me redressai légèrement passant mes bras autour de l'enfant avant de la lever dans les air la faisant tourner en me levant. Elle se mit à rire et je la remmenai contre moi tout en la faisant tournai encore, tournant avec elle. Je la couchai sur le lit et la chatouillai encore un moment avant d'entendre cogner à la porte. Je me redressai et me retournai. Elle se jetta sur mon dos et s'y accrocha comme un petit koala. J'approchai de la porte et l'ouvris en replaçant mes cheveux. « Eckart, faut tu viennes avec moi. » Je poussai un soupire déposant ma fille au sol. J'attendis que Carrie (la gouvernante) vienne la chercher avant d'enfiler quelques morceaux pour partir. Je regardai ma maison un court moment avant de partir. Je fis ce que j'avais à faire et rentrai quelques heures plus tard. Je sorti de la voiture et quelque chose n'allait pas. Quelque chose clochait. Je sortis mon arme et m'avancer. « Dex ? - Y'a quelque chose qui cloche. » J'entrai sans prendre compte s'il me suivrait ou non. Je fis le tour de la maison, c'était trop silencieux, surtout avec une gamine de huit ans. « Bessie ? Mon ange ? » Aucune réponse. « BESSIE!! » Je courus vers sa chambre, rien, vers la mienne, rien non plus. « Dex ? - Ils l'on prient. Je  vais les tuer. Je te l'assure. - Qui Dex, qui est-ce qu'ils ont prit? - Ma fille. » Je le repoussai pour sortir de la maison. Ça me prit une semaine retrouver ma fille. Une foutu semaine avant de retrouver ma fille. Depuis, j'ai changé et pas juste un peu. Plus agressif, plus arrogant, plus méfiant, je suis presque qu'un monstre. Ça a beau faire deux ans de ça, mais c'est gravé.