Je n'impose pas d'histoire, j'estime que tu dois t'approprié le personnage, cependant ce n'est pas parce que je n'impose pas d'histoire, que je ne peux pas t'aider, alors voici quelques idées pour l'histoire.
01. Fils unique d'une famille riche où papa & maman cède à tout ses caprices depuis qu'il est gamin et le denier caprice en date d'Alexis c'était de dirigé une boîte de nuit.
02. Avant sa mort, son père à fait parti de la mafia et en mourrant il a tout légué (Argent, villa, boîte de nuit...) à son fils unique : Alexis. Ce qu'il ne savait pas avant de l'apprendre, c'était que son père était un trafiquant de drogue, d'héroïne pour être exact et il se voit obligé de reprendre le flambeau, non sans en acheter pour son usage personnel...
Cela doit faire à peu près trois semaines que je t'ai repéré, je surveillais mes clients de mon bureau quand je t'ai repéré sur la piste de danse entourer de deux hommes. J'ai fini par descendre dans la boîte et par te rejoindre, tu étais assise au bar.
« Cadeau de la maison. » Tu as tourné la tête vers moi en souriant.
« Merci à vous. » Je t'ai tendu la main et quelques secondes plus tard tu as glisser la tienne dans la mienne. Je n'ai pas put m'empêcher de te déposer un baiser sur ta main.
« Je m'appelle Alexis, je suis le patron de cette boîte de nuit. » Tu m'as alors souris.
« Anastasia, ravi de faire votre connaissance. » « Moi de même Anastasia J'ai observé le serveur quelques secondes et en me retournant tu n'étais plus là.
« Elle t'intéresse ? » « Tu sais quoi sur elle ? » « La plupart du temps elle arrive, elle est seule généralement, elle boit ou deux verres de malibu, de vodka ça dépend des jours. Ensuite elle va danser, généralement elle ne danse pas seule bien longtemps un mec la rejoint toujours. Puis elle revient au bar reprendre un ou deux verres en compagnie d'un homme et elle repart avec. » « Elle paie par carte de crédit j'imagine ? » Le serveur me l'a confirmer d'un signe de tête. Durant le reste de ma soirée, j'ai fait ma petite enquête sur toi, je sais donc que tu repars de la boîte toujours avec un homme différent chaque soir, ou une femme de temps à autre, j'ai aussi appris ton nom de famille grâce à ta carte de crédit. J'ai donné des consignes à mes employés, ne rien te faire payé, pas même ton entrée. Mes employés on trouvé ça bizarre, mais n'ont fait aucuns commentaires après tout c'est moi le big boss, je fais ce qu'il me plaît...
Il y a deux semaines alors que je travaillais tranquillement, j'ai entendu frappé à ma porte, j'ai été ouvrir et je n'ai pas été vraiment surpris de te voir en face de moi.
« Anastasia, je suis ravi de vous revoir. Entrer donc. » « Moi de même Alexis. » Je me suis effacé pour te laisser entrer, tu étais si jolie dans cette petite robe blanche sans bretelles. Tu es rentré dans mon bureau et j'ai fermé la porte à clé derrière toi. Je t'ai invité à t'asseoir sur le canapé.
« Souhaitez-vous quelque chose à boire ? » « Un verre de vodka s'il vous plaît. » J'ai hoché doucement la tête et j'ai été prendre une bouteille de vodka et deux verres dans le meuble derrière mon bureau. Je suis revenu m'asseoir près d'elle, j'ai versé la boisson dans les deux verre, posé la bouteille et je lui ai donné son verre.
« Que me vaux le plaisir de votre visite ? » « Vous pouvez me tutoyez, ça sans doute plus facile. Et vous savez très bien pourquoi je suis ici. » « Très bien, mais tu fais de même. Si je le demande c'est que je ne sais pas. » Je t'ai entendu pousser un petit soupire et je t'ai doucement observé. J'avais une petite idée du sujet que tu allais aborder, mais j'ai pensé que je me tromperais peut-être.
« Très bien. Vos employés m'on prévenu que je ne paierais plus mon entrée, ni boisson, pourquoi ? » Ainsi, j'ai visé juste, tu été venu pour ça...
« Il faut une raison ? » « Oui. » « J'en avais envie est-ce suffisant comme raison ? » « Non. » J'ai bu une gorgée de Vodka en te regardant pendant que tu faisais de même.
« Tu me plais, est-ce suffisant comme raison ? » « Oui, mais tu ne m'auras pas Alexis. » J'ai été surpris par sa phrase pendant qu'elle finissais son verre. Je n'avais pratiquement pas touché au mien.
« Pourquoi être monté dans ce cas-là ? » « Je... Ce n'étais sans doute pas une bonne idée enfin de compte. » J'ai haussé un sourcil en l'entendant.
« Ça ne répond pas à ma question. » « Je voulais simplement savoir pourquoi j'étais privilégié, maintenant que je sais je vais partir. » Tu t'es levée et tu as commencé à te dirigé vers la porte et quelques secondes plus tard je t'ai plaqué contre elle. Mon torse contre ton dos, tes fesses contre mon bas ventre, mes mains sur tes hanches.
« Laisse-moi partir ! » « Je vais te dire pourquoi tu es monté. » J'ai fini par te retourner afin de pouvoir croiser ton regard.
« Je suis curieuse de savoir ce que tu penses. » « Tu es monté parce que même si tu essais de te prouver le contraire, je te plais et inutile de le nier, ton corps parle pour toi. Effectivement, tu as collé un peu plus ton corps au mien, je t'ai vu te mordiller les lèvres et j'ai fini par t'embrasser, baiser que tu as prolonger à l'aide de ta langue. Bon la suite tout le monde la connaît, nous nous sommes envoyés en l'air dans mon bureau et sur le canapé pour être précis... À la fin de nos ébats, nous étions allongés sur le canapé, toi dans mes bras, ton dos contre mon torse, j'étais entrain de caresser doucement ton bras quand tu as pris la parole.
« Je pourrais payer mes boissons et mes entrées ? » « Non. » Tu as fini par te redresser et te levé pour te rhabiller.
« Tu m'as eu ça ne te suffis pas ? » J'ai finis par me rhabiller aussi, réfléchissant à la réponse que j'aurais put te donner, mais aucune ne m'a assez satisfait. Alors quand j'ai fini de m'habiller je t'ai observé.
« Non ça ne me suffit pas. » « Qu'est-ce que tu attends de moi ? » « J'en sais rien ! La seule chose que je sais c'est que tu me plait... » « Je crois que je vais retourner en bas. » Je t'ai laissé partir, j'ai tourné et retourné ta question dans tout les sens, j'ai su en te regardant danser contre un homme qu'il était nettement trop tôt pour parler de sentiments... J'ai fini par te rejoindre, l'homme avec qui tu dansais m'a cédé sa place et j'ai coller mon torse contre ton dos, j'ai posé mes mains sur ton ventre et j'ai soufflé une simple phrase à ton oreilles.
« Je veux que tu m'appartiennes. » Sans que j'ai eu le temps de te retenir tu as été au bar te prendre une boisson, je t'ai rejoint et je t'ai observé boire ton verre d'une traite.
« Il y a une chose que tu dois savoir sur moi Alexis, je n'appartient à personne... À personne c'est clair ? » Tu es partie sans rien dire d'autre et sans que je ne puisse me défendre... Depuis ce soir-là tu n'es pas repasser à la discothèque. Chaque soir j'espère t'apercevoir au milieu de la piste, mais non personne, je crois que tu me manques...